Cura [ Pv Saga ]

Hazuki faisait les cent pas devant le bloc opératoire où avait était transférait son amour
Foutu Zakuro ! Foutu malchance qui s’abattait sans cesse sur lui , Hazuki ne serait donc jamais tranquille ? Il en chier depuis gamin , sa avait commencer par l’indifférence de son père adoptif en passant par la haine que lui et son frère se porté , puis la fuite de Kei du host bar , enfin il avait rencontré Saga , puis son cancer , puis l’ancien maître de Saga qui était revenus à la charge et maintenant Zakuro qui ose toucher à son amant!!
Maudit , il se disait qu’il était maudit , ce n’était pas possible de cumuler autant de merde en 25 ans …

Tremblant , pâle , sa tension montant et descendant en pic , menaçant chaque fois de le faire tomber dans les pommes Hazuki s’assit sur un des siège du couloirs et pris sa tête entre ses mains , les larmes dévalant ses joues et s’écrasant contre le sol froid et aseptisait de l’hôpital

- Pourquoi …? , murmurât-il en un souffle

D’un coup sec , la porte du bloc s’ouvrir et il redressa la tête en voyant le docteur sortir et enlever ses gants , par automatisme , Hazuki se leva et aller vers lui attendant un verdict , qu’avait Saga , combien de temps fallait-il attendre pour qu’il s’en remette ? La boule au ventre , le yakuza regarda le docteur avec des yeux implorant , priant dieu pour que rien ne soit vraiment grave a en menacer la vie du Roux

- Docteur…?

Saga s'était fait transporté de toute urgence à l'hôpital par l'ambulance. Il n'y avait plus un instant à perdre, son état s'aggravait au fil des minutes qui s'écoulaient. La peau aussi blanche que la mort, le souffle quasi inexistant... Sa vie ne tenait presque plus qu'à un fil. Et tout ça à cause de Zakuro. Saga avait eu beau le supplier de ne pas s'acharner sur ses côtes déjà endommagées, il s'en était totalement moquer. Un véritable sadique... Qui lui avait briser une grosse partie de ses côtes, côtes qui avaient sans doute blesser l'intérieur de son corps, au vu du sang qu'il avait cracher... A l'intérieur de l'hôpital, il fut conduit rapidement au bloc opératoire. Ce ne fut qu'au bout d'une longue heure qui parut interminable, qu'un médecin vint à la rencontre de Hazuki pour lui donner des nouvelles.

-Votre ami s'en est sorti, mais il n'est pas pour autant tiré d'affaire. Un grand nombre de ses côtes sont cassées, certaines semblaient déjà être très abîmées. Ses poumons ont été perforés mais nous l'avons opérer à temps. Je ne vous cache pas qu'il a bien failli succomber à ses blessures, une chance que vous ayez appeler rapidement. Il a été placé sous respiration artificelle, son souffle est encore très faible...

Pendant qu'il parlait, d'autres médecins étaient sortis du bloc, entourant un certain petto allongé sur un lit à roulettes. Recouvert d'un fin drap, cela faisait mal au coeur de le voir ainsi, inconscient et le visage à moitié masqué par un respirateur, élément essentiel pour sa survie...

-Nous allons l'emmener dans une chambre. Je suppose que vous voulez être auprès de lui non ?

Hazuki serré les dents , la tension était insoutenable puis , quand enfin le docteur se mis à lâcher son diagnostic , se fut le décompression puis c’est comme si l’âme d’Hazuki se ratatinée petit à petit , les poumons avaient étaient perforé , c’est bien se qu’il y avait le plus a craindre . Saga avait toucher le seuil de la mort , Pourquoi , Pourquoi il fallait que l’ont touche à sa raison de vivre, pourquoi ?… il avait l’impression de hurler ce mot dans les ténèbres et de n’en entendre rien que l’écho .
Quoi que , se fameux écho eux un retour , celui d’une porte qui s’ouvre a la volée et le bruit tonitruant des roulettes d’un lit d’hôpital , les yeux gris perle du yakuza se rivèrent dessus et d’innombrable larmes recommencèrent a coulées , Saga , c’était son homme , là a moitié mort sur le lit , un masque a Oxygène sur le visage .

-Nous allons l'emmener dans une chambre. Je suppose que vous voulez être auprès de lui non ?


Hazuki ne donna pas de réponse et se contenta de rattraper et suivre le convoie au pas de course , les larmes affluente brouillant sa vue . Une foulée de sanglots étouffés au fond de sa gorge sèche , sa voix , faible s’éleva , appelant désespérément le corps encore endormit .

- Saga….Saga..Saga….Sa….Saga…

Le médecin considéra le silence de Hazuki comme un oui. Aussi, avec l'aide de ses collègues, il emmena Saga dans une chambre rien que pour lui, où il pourra se reposer et reprendre des forces en toute tranquilité. Il traversa un véritable labyrinthe, constitué de longs couloirs à n'en plus finir. Tout se ressemblait en ce lieu : du blanc à perte de vue, des couloirs fourmillant de chambres, où des infirmières et des médecins étaient débordés de travail... Le convoi se stoppa face à une chambre, identique à toutes les autres.

-Nous y voilà. Vous pouvez rester ici autant de temps que vous le souhaitez. Personne ne viendra vous déranger.

Le docteur fit entrer le lit où gisait le rouquin et avec le soutient des autres médecins, il souleva son corps avec une très grande précaution pour le déposer dans un lit beaucoup plus confortement que le précédent. Toujours avec cette même douceur, il lui perça le brasd'un tuyau afin de lui injecter de la morphine. Avec tout ce que le pauvre petto avait subi, il avait bien besoin de ça pour moins souffrir... Son travail achevé, il se recula de quelques pas et s'adressa au yakuza.

-Voilà, je vous laisse. Au moindre problème, appelez-moi.

Le docteur salua Hazuki une dernière fois avant de le quitter pour de bon.

La main d’Hazuki logeais sur sa propre poitrine , son cœur lui faisait mal , terriblement même , il se serré , de plus en plus , comme pour se ratatiner lui-même , ses bronches et sa gorge était en feu , c’était ça , cette souffrance à l’auquelle il avait était habituer depuis son enfance , la passade calme et pleine d’amour qu’il avait vécu avec le roux aller elle prendre fin en ses jours ? Non , il ne voulait pas , et pourtant il n’était qu’une des marionnette du destin , de son destin.
Si Saga mourrait , il mourrait dans la seconde qui suivait , que faire a part sa lorsque votre raison de vivre vous quitter ?

«  Laisse toi aller … »

Cette phrase , c’est celle que Zero lui avait dites avant qu’il ne commence a lui cogner dessus , prétextant qu’il n’était pas une femellete , mais en cette instant , dans le coin de la chambre ou l’ont installer son amant pour les semaines , mois , à venir , il pris en considération se conseil et quand les médecins sortirent uns a uns , le laissant en tête à tête avec son amour endormit , il pris une chaise aà la manière d’un zombie , et vint s’asseoir a ses coter , prenant sa mains fébrilement , et c’est alors , qu’il se laissa aller , les larmes dégringolaient littéralement ses joues en pluie abondante , il n’arrivais pas a retenir ses sanglots , alors il essaya de les étouffer en se mordant le poignet , le front contre le rebors du lit , il voulais avoir mal , souffrir physiquement pour se dire qu’il vivait encore , qu’il y avait encore une once d’Humanité en lui …

Tous les médecins quittèrent la chambre, laissant les deux jeunes hommes seuls. Couché dans le lit, Saga ne montrait aucun signe de vie. Il était absolument immobile et d'une blancheur inquiétante. Seul le cardiogramme permettait d'avoir un oeil sur sa santé actuelle. Il luttait pour sa survie, le rythme pas très régulier de la machine le montrait bien. Mais pour combien de temps ? Allait-il avoir assez de forces ? Seul le temps pouvait le dire...

A l'intérieur même de son esprit, Saga marchait dans la pénombre la plus totale. Où allait-il ? Il ne savait pas. La seule chose qu'il désirait c'était de sortir de cet endroit et de retrouver la lumière, sa lumière en fait. Son Hazuki... Mais plus il marchait, plus il avait l'impression de s'enfoncer dans ce noir épais. Il tombait, se relevait.... C'était un cercle sans fin. Sa main serra inconsciemment celle dans la sienne, en gémissant le prénom de son amour.

Plusieurs jours s’étaient écoulés , trois où quatre , le brun ne savait plus , en tout , il avait du se lever cinq fois pour aller pisser , il refuser de manger et quoi que se soit d’autre , il ne voulait pas quitter le chevet de son amant sous l’œil inquiet des médecins qui se souciait de sa santé mentale , certes , il n’allais pas bien , tellement mal qu’a force de se mordre un poignet il l’avait dangereusement mit a sang , mais il le cacher , déjà qu’il était connus pour ses crise caractérielles , il ne fallais pas qu’il se fasse internet , non , Saga avait besoin de lui , et a l’aube du cinquième jour , le visage toujours poser sur le rebord du lit , il ouvrit les yeux sur le corps de son amant qui se voyait toujours plus perfusé , et regardat leurs deux mains soudées
Dans quelque heures , une infirmière viendrait changer la poche de glucides et de protéine en tout genre qui le nourrissait par intraveineuses
Hazuki se remit à pleuré , dans le silence et la pièce violacée de par le soleil naissant , cela faisait cinq jours qu’il le voyait se levait , mais en lui , c’était le noir total… Sans sa lumière …n’importe quel soleil pouvait brillé , jamais il n’éclairerait son chemin ..

Cinq jours. Cinq longs jours s'étaient écoulés et Saga ne s'était toujours pas réveillé. Les médecins étaient très pessimistes à son sujet et ne croyaient pas vraiment à une probable émergeance. Il était bien trop démoli. Mais le rouquin ne s'avouait pas vaincu. Aussi faible qu'il était, il n'avait pas pourtant baisser les bras. Bientôt il reverrait la lumière du jour et retrouverait les bras de son ange. Il en était convaincu !

Saga ne s'était pas arrêter de marcher, jusqu'à l'épuisement. Il n'en voyait pas le bout et commençait tout de même à désespérer. A croire que c'était un chemin sans issues, dans lequel il errera sans fin... Mais son entêtement fut récompensé : il déboucha dans une grande pièce, où se trouvait quatre portes. Il se mit à douter. Que devait-il faire ? Il n'avait sans doute pas d'autres choix que d'ouvrir l'une d'elle... Mais s'il y avait un piège à l'intérieur ? Le jeune homme n'avait pas d'autres alternatives, il devait tenter le tout pour le tout. Il s'avança au hasard près d'une porte, l'ouvrit et s'engouffra...

Son rythme cardiaque s'était brusquement accéléré. Des médecins entrèrent dans la chambre pour s'occuper de lui au plus vite, tandis que l'un d'eux s'approcha de Hazuki.

-Nous vous demandons de quitter la pièce, nous devons le soigner au plus vite.

Injustice ! Favoritisme ! La vie n’était qu’une pute !
Alors qu’il se demander encore inlassablement pourquoi son Saga et pas un autre , il maudit Zakuro , se sale bourgeois de merde n’en avait pas assez pris dans la gueule , et si Saga ne s’en sortait pas , il irait le tuer comme un vulgaire chien .
C’est sur ses pensées que d’un coup tout bascula , les biip irréguliers du cardiogramme s’affollèrent frénétiquement et qu’en quelques secondes , une nuées de médecins se précipatat dans la chambre autour de son amant , Hazuki paniqua totalement et cramponna sa main a celle du roux et cria son nom

-Saga !

Un médecin vint le voir , lui disant de quitter la pièce , refusant , le yakuza se vis embarquer a l’éxterieur de la pièce par une armoire à glace typé noir américain , du genre le bon gros joueur de football américain , se débattant comme il pouvait , l’abstention de nourriture l’avais rendus aussi faible qu’un chiot , c’est seulement quand la porte se referma qu’il hurla encore d’une voix brisée

- SAGA ME LAISSE PAS !!

Hazuki s'était fait jarté de la chambre comme un malpropre, permettant aux médecins de se mettre au travail. Ils ne comprenaient pas ce qui arrivait au petto. Son état était pourtant plutôt stable durant ces cinq jours. Alors pourquoi est ce qu'il se mettait d'un coup à flancher ? Ils se mirent à vérifier les paramètres des machines, d'autres l'examinant, essayant de localiser la source du problème. Un bip assourdissant retentit dans la pièce. Les médecins se dépêchèrent de réanimer le rouquin qui frôlait la mort. Alors qu'ils crurent tous que c'était trop tard, Saga ouvrit brutalement des yeux.

-HAZUKI !

Il se mit à s'agiter dans tous les sens, inquiet de ne pas voir son amour près de lui. Une infirmière vint prêter main forte aux médecins déjà présents. Tandis que l'un d'eux bloqua les bras de Saga pour qu'il arrête de bouger, la jeune femme lui inculqua un calmant d'une piqure. Un des médecins ordonna à l'armoire à glace de laisser Hazuki rentrer, son amant étant réveiller.

La porte s’était fermer , il entendait les débris de son cœur s’écrasé les uns après les autres..
Foutus , tout était foutus , le bip strident du cardiograme lui disait d’aller se suicider , Saga ne vivait plus …non , il ne vivait plus , le néant , le trou noir , les grande steppes de mongoles balayer par un vent arctique …lui il mourrait de l’interieur

- HAZUKI!

Un cris , une voix , sa voix , la sienne , rien qu’a lui , d’un pulsion , quand la porte coulissante s’ouvrit , Hazuki se leva et se jeta a l’interieur comme un forconé , avant de directement se jeter a genoux devant le lit de son amant , il ne savait plus trop se qu’il faisait , il était devenue un peut fou a cause de la peur qui l’avait rongé durant ses quelques jours , psychologiquement fragile , sous ses airs de dur , il était vraiment pitoyable en cet instant , comme un oiseaux affoler ui c’est écraser contre une vitre .
Se relevat difficilement , tremblant sur ses jambes , son poigner saignant malencontreusement , il alla se blottir contre Saga en pleurant comme un gamin , grimpant a demi sur le lit , ordonnant tout en geignant au docteurs de déguerpir , qu’il était a lui et que personne ne devait le toucher
Hazuki était vraiment au bord de la raison humaine …

Une angoisse profonde était logée au creux du corps de Saga. Où était Hazuki ? Son ange, son amant... Que faisait-il dans un hôpital - du moins il le supposait, au vu de la blancheur de la pièce où il se trouvait et des médecins qui l'entouraient- ? Il ne se souvenait de rien, le trou noir. Tout ce qu'il désirait en cet instant, c'était d'être auprès de son amour. Son voeu fut exaucé comme par enchantement : Hazuki se précipita dans la chambre et se logea tout contre le petto. Il semblait si bouleversé, terrifié... Saga en avait mal pour lui.

Alors que le personnel médial avait quitté la pièce sous les ordres du yakuza, Saga se laissa aller. Malgré qu'il était affaibli par le calmant précédemment infiltré dans ses veines, il redoubla d'efforts pour se surélevé très légèrement et passa ses bras autour de la nuque de Hazuki. Il frotta vigoureusement son visage sur son torse; trempé par des larmes soudaines. La peur cohabitait avec la crainte et il ne savait pas encore pourquoi...

-Ne m'abandonne pas... Je me sens si mal sans toi...

Psychologiquement détruit , inexistant , un légume , une loque , un enfant amoureux
Des magnifiques yeux gris perles d’Hazuki coulait en torrent abondant des larmes plus pure qu’une eau millénaire gardée de toute activité humaine , son cœur battait a tout rompre dans son corps fin et sa tête était comme une caisse de raisonnence , dans son monde , il enlaça possésivement la taille de Saga pour le serré contre lui et il glissa ses jambes dans les siennes , Hazuki se sentait tellement mal …

-Jamais …Peut pas …mourir plutôt

Incapable de sortir une quelconque phrase naturellement formée , trop en état de choc , il baigné l’oreiller du sang de son poignet mais c’était bien la derniere de ses précopation
Sa premiere etait Saga , et il n’allait pas changer

-Jamais …Peut pas …mourir plutôt

Saga délogea sa tête pour fixer intensivement son amant, un air paniqué peint sur son visage pâle. Si Hazuki venait à mourir, quelque soit la raison, il signerait l'arrêt de mort du rouquin. Il faisait comme partie intégrante de lui-même et s'il disparaissait, ce serait comme lui arracher son coeur... Saga déposa une main fraiche sur une joue du brun, mouillée par mille et une larmes.

-Ne dis pas ça... Si tu n'étais plus là à mes côtés... Ma vie se briserait. Je... Je n'aurai plus aucun intérêt à exister !

Sa main quitta la peau de Hazuki pour venir cramponner ses vêtements, avec toutes les forces qui lui restaient. Son visage retrouva refuge dans son cou, que le petto trempa de ses larmes. Ses gros sanglots s'y étouffèrent... Une vision persistante perça l'esprit du garçon. Une image d'un jeune homme qu'il reconnut : ...Zakuro ? Sans connaitre la raison, Saga se mit à frissonner et s'agrippa davantage à Hazuki.

-Hazuki...

Les jours , les nuits , les souvenir , la douleur , le sang , la drogue , les putes , les caisses d'armes , les fosses , Zero , papa , Kei , Tara , Zakuro , le passer , le présent , tout ce mélanger dans la tête d'Hazuki qui geignait sans cesses , il allait mal , il était mal , il s'était creusé un trou béant dans la poitrine en voyant que saga ne se reveillé pas , il avait déjà commencer a construire un monde a lui comme barrière de protéction , inconsciament , devenant comme autiste puis Saga c'était reveillé , et maintenant , il ne savait plus ou il en était .
Faiblard , tremblotant , il ressembler a un petit chiot que l'ont venait de sortir d'un sac poubelle jeter dans le canal , il ne voulait plus que de la tendresse de la part de son petto mais malheureusement , celui-ci était mal en point et pleuré contre son torse
Hazuki voulait de l'attention , des mots doux , des câlins et de caresses apaisante , il voulait recevoir toutes celle d'une vie qu'il avait raté et ne pas seulement donné , il en avait marre , il fallait qu'on le choiyent un peut
De toute manière , ravagé comme il était si ce n'éttaie pas le cas , autant qu'il se tire une balle
Mais Saga était la , il vivait , il VIVAIT et il parlait

- Hazuki ...

Pas de réponse , le choc lui avait coupé les jambes et la parole , mais il écouter Saga et inconsciament , il le lui fit savoir en le serrant un peut plus contre lui , pleurant toujours comme un enfin ravager par un chagrin inéductable et inébranlable

Saga était inquiet sur l'état de son amant. Mis à part des sanglots, pas un seul son ne sortit de sa bouche. Il semblait piéger dans un monde parallèle , prostré dans une coquille débordante de malheurs. Il n'était plus que l'ombre de lui-même, une âme en peine... Et Saga qui ne faisait rien pour le soutenir, juste se plaindre de son propre sort. C'était de sa faute si Hazuki était ainsi, il devait arrêter d'être égoiste et l'aider ! D'un revers de la main, le petto sécha ses propres larmes. Ce n'était pas en pleurant qu'il allait être convaincant... Il captura le visage de Hazuki entre ses doigts et fit croiser leurs regards.

-Hazuki. Je suis là, n'aie pas peur. Calme-toi mon amour. Je suis en vie, je ne te quitterai pas. Fais-moi confiance.

Saga continua inlassablement de chuchoter des mots réconfortants à celui qu'il aimait. Il retira précautionneusement son masque à oxygène malgré les risques qu'il encourrait, afin de mordiller les douces lèvres de Hazuki de ses dents. Il leur appliqua quelques léchouilles du bout de la langue, tout en lui prodiguant des caresses le long de ses joues, lui réclamant tendrement l'accès à sa bouche...

-Tu te rappelles quand je t'avais dit que je m'occuperai de toi ? Ce jour est arrivé.

Hazuki n’était devenus plus que l’ombre de lui-même oui , tout cela en cinq jours…Zakuro devait s’en sentir fier , sacré Zakuro…
Toujours contre son amant , ne bougeant pas d’un pouce il pleuré encore ,il n’arriver pas a s’arrêter , son cerveau envoyer vaguement l’ordre de stopper ses flot incessent , mais sans grande conviction , il ne se stoppa pas ,peur , il avait peur , constamment peur ,cramponnait a Saga , il sursauter au moindre son trop aigue ou grave , comme une bête sauvage
Et quand les doigts de Saga prirent son visage tout en délicatesse , il n’arriva pas a encré réellement son regard dans le sien , ses yeux était vitreux , fiévreux ,il était décontenancer , vivant, mais mort de l’interieur
Des mots , des mots , Saga le couvrait de mots doux et amoureux ,d’un baratin tendre pour le consoler , chose qui ne fonctiona pas très bien …du moins que très peu, les larmes ne se stopper pas .
Elle ne se stopper jamais
Un petit sursaut , Saga était venut mordiller ses lèvres , douce attention, demande silencieuse , Hazuki lui laissa le champ libreet l’accés a ses lèvres et sa langue


Oui , Hazuki s’en souvenait, un clignement d’œil vif, voila la seule réponse que Saga aurait de son amant

Saga laissa son amant s'accrocher à lui. Si ça pouvait lui permettre de se sentir mieux, qu'il le fasse. Tout ce qu'il voulait, tant qu'il redevenait le Hazuki qu'il connaissait, pas cette enveloppe charnelle vidée de sa joie de vivre, les yeux sans éclats... Le néant. Ce triste tableau en bouleversait le rouquin, qui redoubla d'efforts pour ne pas craquer lui aussi. Hazuki pleurait bien assez, pas la peine d'en rajouter... Cela ne l'aiderait pas, ça non. La meilleure chose à faire à ce moment précis était de le consoler. Et pour ça, Saga allait devoir sortir l'artillerie lourde...

Le petto se remit dos au lit, supportant mal d'être à moitié assis à cause de ses innombrables blessures. De ce fait, il tira Hazuki vers lui afin qu'il se penche au-dessus de son corps et reprit ce qu'il avait commencé. A savoir l'embrasser... Peut-être qu'un baiser lui ferait reprendre doucement les esprits... Il devait essayer, il n'avait rien à perdre. Et puis, ce n'était pas comme si cela ne lui plaisait pas... La langue du rouquin s'engouffra dans cet antre qu'il connaissait si bien. Elle chercha sa jumelle, qu'elle invita par la suite à s'unir à elle. En toute tranquilité, sans aller trop vite. Saga devait "apprivoiser" son amant afin qu'il apprécie. L'une de ses mains s'enfouit dans la chevelure de Hazuki, la caressant calmement. L'autre effleura sa nuque, avant d'attraper fermement une main du brun dans la sienne. Il la serra amoureusement, lui montrant qu'il était là. Il ne le lâcherait pas.

Brisé , bléssé , déchiré , desarmé , massacré , évidé , éventré ... en encore moults et moults adjectif pouvais qualifier notre chez Yakuza qui n'arrivait pas a sortir de sa transe désertique
Un baiser , un baiser ou faiblement sa langue douce et que l'ont peut qualifier d'habitude si caline s'agitant tel un poisson a l'agonie contre celle de Saga , son roux , son chaton , son bébé , l'amour de sa vie , il était a mille lieu d'imaginé qu'il s'enverrait en l'air avec tora , et faiblement , presque inaudiblement il murmura un "je t'aime" déséché tel un rose qui rend l'âme et qui perd son dernier pétale
Oui, il l'aimer comme un fou , il l'aimait jusqu'a s'en véritablement laisser mourrir tel une pauvre veuve aimante de son mari ou autrement appeller , le tableau patétique de ce qu'il déteste